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Quelles sont les névroses les plus courantes en fonction de votre signe astro ?
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Quelles sont les névroses les plus courantes en fonction de votre signe astro ?

Par Diane Boccador
Temps de lecture: 7 min

Et si on faisait passer les signes astro sur le divan : quelle est la névrose qui vous pend au nez, la régression qui mérite bien son nom ou la phobie qui ne fait jamais un pli ? Attention : analyse ludique à ne pas prendre au pied du signe…

Si chaque signe du zodiaque a son propre caractère, il a aussi ses petits défauts et ses petites névroses. L’astrologue Diane Boccador décrypte pour marieclaire.fr les pendants névrotiques de chaque signe astro. A ne pas prendre au pied de la lettre, évidemment…

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Bélier (21 mars – 20 avril) : vite fait = insatisfait

Avec l’instinct en lieu et place du cerveau et une primarité hypertrophiée, les Béliers auraient raison de se poser enfin des questions et d’atterrir chez le psy. L’impulsivité vous mène par le bout du nez et s’il faut réfléchir, on verra bien après ! A force de tout résoudre par la réaction, vous zappez la réflexion et votre vie est ainsi criblée de pulsions : la libido aussi grosse que l’ego, vous tirez à boulets rouges sur vos désirs immédiats, en oubliant que votre satisfaction en sera tout aussi provisoire.

 

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Ce qui n’est pas « pensé » est souvent insensé mais qu’importe puisque vous ne vibrez qu’à l’excitation provoquée. A force de pourvoir en un éclair à des objectifs éphémères, nos Béliers restent d’éternels insatisfaits, qui peuvent aussi se consoler en allant pleurer dans les jupes de leur mère.

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Taureau (20 avril – 21 mai) : machines à obsessions

Comme l’animal du même nom, vous ruminez et prenez un temps que l’on dira « sacré » pour tout digérer : vos processus psychologiques se situent ainsi entre lourds et trop longs… et tout chez vous vire à l’obsession. Rancunes, remords, désirs de vengeance, souvenirs obsessionnels, fixettes sur le passé : vous vous éclatez sur les « arrêts sur image » au lieu d’apprendre à tourner la page.

La masturbation intellectuelle est un art déviant que les « psys » appelleraient bien fixation ou névrose obsessionnelle. A force de macérer passé et griefs, vous tournez en rond dans des tourments sans nom et vous vous prenez la tête, surtout quand il y a prescription. Soyez plus légère, apprenez à rebondir de tout votre poids et amorcez un « retour vers le futur » qui vaincra votre passivité et sera sûrement votre prochain exploit.

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Gémeaux (21 mai – 21 juin) : dédoublement de personnalité

A force de « jouer » sa vie, le Gémeaux cache toujours un acteur en lui. Quelle facette avez-vous choisi aujourd’hui ? Et qui est installée sur le divan : la joueuse ou la menteuse ? Pas simple d’être née sous le signe du Gémeaux quand on n’a qu’un seul ego. Facétieuse, manipulatrice : pas facile de savoir à quel Gémeaux se vouer et vive le dédoublement de personnalité !

 

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Avez-vous vraiment un jumeau et si « oui », qui est qui ? Trop maligne pour être toujours sincère, vous adorez tromper votre monde et singez le papillon dispersé pour ne pas vous laisser démasquer. Gare aux petites névroses qui s’ensuivent : de la tromperie à la mythomanie, de la comédie à la schizophrénie, il n’y a qu’un pas qui pourrait bien un jour être le faux.

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Cancer (22 juin – 22 juillet) : et vive la régression !

La carapace du petit crabe du zodiaque est le terrain idéal pour abriter les formes possibles de régression, bien à l’abri des regards indiscrets ! Et devant toute grosse frustration, vous voilà déjà en train de vous carapater à reculons, pour ne plus avoir à regarder les choses en face. Exagérément à fleur de peau, vous ripez au moindre bobo à l’ego (ou au cœur) et l’on vous retrouve la tête dans le frigo ou scotché à votre oreiller, pour un temps non précisé.

 

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Vos petites retraites improvisées ne vous servent qu’à « compenser » la triste réalité. Manger pour oublier, dormir pour ne pas affronter, rêver pour mieux supporter, créer pour s’évader : crise de boulimie ou hypersomnie, syndrome de l’artiste ou rejet du concret, le Cancer n’est décidément pas fait pour ce monde de brutes.

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Lion (22 juillet – 23 août) : Narcissique ?

Qui ne sait pas que la petite faiblesse qui perdra un jour un Lion est cet ego surdimensionné qui le fait courir, toute sa vie durant, après ce grand amour chimérique, cette passion vivace : LUI ! Symptôme non équivoque des prémices du délire narcissique. Taxée d’un orgueil démesuré, d’un ego envahissant, de ce besoin de toujours briller (flamber ?), d’occuper la place et de provoquer l’admiration, vous adorez être le nombril du monde.

 

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Attention à votre potentielle folie des grandeurs : cette course au superlatif, la quête incessante de compliments et le « bling-bling » à plein temps frisent la mégalomanie. Et dans ce domaine-là, un Lion n’aura jamais fini de nous en mettre plein la vue !

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Vierge (23 août – 23 septembre) : phobies et inhibitions

A force d’opter pour la maîtrise en tout et pour tout, notre Vierge du zodiaque devient vite une machine à inhibitions : le laisser-aller au panier et l’instinct au placard, vous accumulez les censures et cela vous donne fréquemment des petits airs d’ascète, abonnée aux mécanismes de refoulement… Légendairement soumise aux angoisses et aux petites manies, vous êtes également une usine à phobies qui vous conduiraient bien directement chez le psy : frigidité, crampe de l’écrivain, T.O.C, peur panique de la foule, de la maladie, du vide, du microbe, de manquer.

Vous n’avez décidément aucune aptitude à « vous lâcher » et vous ne seriez pas aussi « Vierge », si vous n’étiez pas si coincée. Déverrouillez, mettez de l’huile et sortez vite votre facette Vierge folle avant que le divan ne s’affole.

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Balance (23 septembre – 23 octobre) : Névrose narcissique ou hystérie de séduction

Eternelle indécise devant l’Eternel, la Balance préfère souvent asseoir son joli derrière entre deux chaises plutôt que d’avoir à s’impliquer. Bien trop dépendante du regard de l’autre, vous vous persuadez que l’habit fait bien le moine et vous promenez votre élégante transparence à la face du monde : une psychanalyse ne tranchera pas davantage que vous et vous diagnostiquera sans doute à cheval entre une névrose narcissique et une hystérie de séduction.

A force de ne pas vouloir déplaire, vous impliquer devient ce déchirement entre une véritable envie et la belle image que vous avez si bien polie. La thérapie ? Essayez donc de choquer, de prendre le contre-pied, de vous asseoir sur les « on dit » : le charme de l’irrégularité est aussi à visiter.

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Scorpion (23 octobre – 22 novembre) : masochiste ou obsédée sexuelle

Le sexe est vraiment votre meilleur argument mais encore faudrait-il l’utiliser toujours à bon escient. Surtout pas de limites à l’érotisme : l’ennui sur l’oreiller est bien pire que le sadisme. Quand trop c’est trop, vous frisez l’addiction. Quand la normalité vous a saturé, vous flirtez allègrement avec la perversité. Quand un homme ne vous convient plus, vous adopteriez bien le syndrome de la mante religieuse. Un psy aura très vite compris que le sexe sous toutes ses coutures est votre plus belle mésaventure.

 

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Attention également aux pulsions auto-destructrices du fascinant Scorpion : face à l’échec, vous ne savez rien faire de mieux que de vous saborder et, en langage « psy », ça s’appelle du masochisme. Tout à l’extrême pour repousser les problèmes : le signe du Scorpion n’est surtout pas l’équilibre même.

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Sagittaire (22 novembre – 22 décembre) : reine de la projection

Le travers le plus fréquent du Sagittaire est d’idéaliser jusqu’à se mettre le doigt dans l’oeil. S’emballer en calquant sur l’autre ce qui n’est que votre seule envie s’appelle de la projection et là, le psy dit « attention : le divan n’est pas un carrosse». « Tout le monde est beau et tout le monde est gentil » et « tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes » sont des façons d’occulter les problèmes et de se leurrer sur les situations : entre naïve et candide, vous courrez surtout à la déception et c’est comme ça qu’on se casse le nez sur les réalités.

 

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Regardez les autres comme ils sont et ne leur imposez pas toutes ces projections : ça leur fera des vacances car ce n’est pas de tout repos de se montrer à la hauteur de vos idéaux.

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Capricorne (22 décembre – 21 janvier) : refoulement et misanthropie

Si le Bélier vit sur ses pulsions, vous ne faites en revanche qu’étouffer les vôtres. La logique du refoulement est en place et s’il faut se priver, se brimer, ce n’est pas un problème. Sacrifier le profit immédiat pour s’accorder les bénéfices futurs est exactement dans votre nature. Le « je n’ai besoin de personne » est une autre forme de refoulement, qui vous déguise en misanthrope et facilite l’isolation. Le Capricorne peut aussi devenir ce « grand froid » à l’égoïsme forcené, privé d’empathie et qui se met des oeillères, pour parvenir plus directement à ses fins.

Le psy ? Vous n’avez rien à lui dire, vous vous en sortez très bien : qu’il passe son chemin et pour vous, tout va bien.

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Verseau (21 janvier – 20 février) : instabilité chronique et caractérisée

Le Verseau est ce sympathique instable, qui passe du chaud au froid et du blanc au noir, en feignant d’ignorer l’impact des contradictions. Votre vie est un balancier et si vous ne changez pas de côté, vous risquez de vous ennuyer. La linéarité est un enterrement de première classe alors pourquoi se priver de zapper ? La difficulté n’est pas DU TOUT votre tasse de thé alors autant renverser la vapeur quand on n’est pas à la hauteur.

 

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Pour s’amuser, il faut de la variété et quand on s’ennuie, il suffit de changer de vie ! Difficile de vous suivre dans ce parcours escarpé et ces tournants à 90° : vous ne faites pas toujours l’unanimité mais vous nous aurez bien bluffé. Le divan, il ne faut surtout pas y rester trop longtemps : la vie vous attend.

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Poissons (20 février – 21 mars) : A deux écailles de l’addiction

Allez savoir pourquoi le Poisson est légendairement associé à l’addiction ? Influençable, impressionnable, vulnérable : si vous savez nager en eaux troubles, vos écailles semblent, elles, être un terrain favorable à la dépendance. Votre psychisme de Poissons est perméable et élastique et le manque de colonne vertébrale vous prive de cette structure nécessaire à l’équilibre : voilà pourquoi les hauts et les bas sont vos exploits naturels.

Tomber très bas, s’évader très haut : autant d’effets qui vous attirent, autant de substances qui vous enivrent.Vous filez en douce de l’overdose au sevrage et si personne ne le sait, c’est que l’eau (votre élément) n’est qu’un océan de faux-fuyants !

Source: marieclaire.fr

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Charlotte Deprez Voir ses articles >

Foodie assumée, obsédée par les voyages, la photographie et la tech, toujours à l'affût de la dernière tendance Instagram qui va révolutionner le monde.

Tags: Astrologie, Psycho.
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