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Bom Dia, Verônica — saison 1 — le 1 octobre
Bom Dia, Varônica est une nouvelle série qui nous vient tout droit du Brésil. Verônica Torres est mariée, a deux enfants et une petite vie bien rangée comme secrétaire au service des homicides du commissariat de Sao Paulo. Mais plot twist, elle se retrouve témoin d’un suicide qui va réveiller de douloureuses blessures du passé.
Plot twist 2, la même semaine, elle reçoit l’appel anonyme d’une femme désespérée suppliant qu’on lui vienne en aide. Verônica décide alors de s’improviser enquêtrice et d’utiliser toutes ses compétences pour démêler ces deux affaires : celle de la jeune fille suicidée, dupée par un escroc sur Internet, et celle de l’épouse soumise d’un tueur en série. La bande-annonce nous laisse aussi entrevoir un soupçon de féminisme, entre enquêtrice badass et libération de la parole des femmes abusées. Bref, on demande vraiment à voir!
How to get away with murder — saison 6 — le 1 octobre
On ne présente plus cette série, qui suit les déboires d’Annalise Keating (incarnée par Viola Davis, qui a d’ailleurs gagné un Emmy pour cette performance), professeur de droit dans une prestigieuse université de Philadelphie, qui, avec cinq de ses étudiants, se retrouve mêlée à une histoire de meurtre.
Si vous n’avez pas encore pris le temps de regarder les 5 premières saisons, c’est le moment où jamais de rattraper votre retard! Elles sont toutes disponibles sur Netflix.
Emily in Paris — saison 1 — le 2 octobre
Attention, série addictive et ultra irritante en vue! Darren Star, le créateur de SATC (Sex and the City, suivez un peu) et Younger revient avec une série qui suit Emily Cooper, jeune cadre ambitieuse originaire de Chicago. Emily décroche le poste de ses rêves quand sa société rachète une agence française de marketing de luxe et lui confie la modernisation de leur stratégie en réseaux sociaux… à Paris !
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Sur papier, on imagine un genre de Diable s’habille en Prada qui aurait fricoté avec Sex and the City, et ça, on aime. Mais la bande-annonce, truffée de clichés sur Paris, le milieu du luxe et la culture française, nous laisse présager du pire… Du coup, on sent qu’on va la binge-watcher en adorant critiquer tous les faits et gestes d’Emily.
The Haunting of Bly Manor — le 9 octobre
Cela ne vous aura pas échappé, octobre est le mois d’Halloween! The Haunting of Bly Manor, nouvel opus très attendu de la série « The Haunting » tombe donc à pic pour un marathon série ultra flippant le soir du 31. Parce que oui, on va éviter le porte-à-porte et les grosses soirées déguisées cette année hein.
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La série se passe dans l’Angleterre des années 1980, après la mort tragique d’une jeune fille au pair. Henry Wingrave engage une gouvernante américaine inexpérimentée (Victoria Pedretti, tiens tiens) pour s’occuper de sa nièce et de son neveu, orphelins résidant à Bly Manor. Vu le titre de la série, vous aurez compris que le manoir regorge de squelettes dans le placard qui ne demandent qu’à être révélés au fil des épisodes, tous plus terrifiants les uns que les autres.
Social Distance — saison 1 — le 15 octobre
Située dans les premiers mois de la pandémie de COVID-19, Social Distance est une série conceptuelle, conçue, castée et exécutée entièrement à distance pendant le confinement. Chacun des huit épisodes saisit l’expérience particulière d’être forcé à l’isolement par les circonstances et de n’avoir d’autre choix que de communiquer à distance, dépendant entièrement de la technologie pour maintenir le lien avec l’extérieur. Bon. On a très peu d’infos sur cette nouvelle série et on doit avouer que se replonger dans le confinement juste après le confinement, on demande à voir.
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Quelqu’un doit mourir — le 16 octobre
Dans la famille des séries espagnoles, on demande Alguien tiene que morir ! Ce thriller en 3 épisodes, dans lequel on retrouve notamment Ester Expósito (Elite), commence lorsqu’un jeune espagnol vivant au Mexique est rappelé par ses parents pour rentrer au pays et rencontrer sa fiancée. Sauf qu’il revient avec Lazaro, un mystérieux danseur de ballet…
Avec sa bande-annonce aux airs de Cluedo et ses décors et costumes de l’Espagne des années 50, cette mini-série promet de pointer du doigt une réalité et un problème social d’un point de vue très différent.
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