Sommaire
Dans un voyage hors du temps, Chanel vivait son premier défilé sans Karl Lagerfeld. Virginie Viard a pris sa suite, en douceur. C’est cette douceur que l’on retrouve dans ce dernier défilé, mêlée à une sensation d’urgence, de mouvement. Les palettes lumineuses de rose, de vert, de mauve et de fuschia entrent en collision avec la profondeur du brun bistre, du bleu marine et du noir.
Les nuances pastels se fondent entre elles, évoquant un paysage saisi au vol, flouté par la vitesse du train. On retrouve aussi l’emblématique veste en tweed de Chanel, courte ou longue, revisitée avec deux, quatre ou six poches, avec ou sans col,… Sous les vestes, les débardeurs fleuris en mousseline qui font tout le caractère de la griffe. Un défilé plein de fraicheur et de délicatesse, les images parlent d’elles-mêmes :
https://www.youtube.com/watch?v=stwqkYGsDkU
La scénographie
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Les looks
Les célébrités
Le final
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