Sommaire
Parce que voir des femmes être traitées comme objet de consommation, à leur insu, est inacceptable
Parce que le cyber-harcèlement qui s’ensuit doit être dénoncé
Parce qu’il est temps qu’une législation adaptée montre que de telles dérives ne seront plus tolérées
Parce qu’une éducation adaptée doit être mise en place dans les écoles
Notre rédaction s’engage à soutenir la pétition sur le sujet et à demander l’implication du monde politique, comme la Ministre Alda Greoli qui dénonce déjà « l’absence de responsabilités des auteurs mais aussi du régulateur du web comme Facebook » et la nécessité « d’agir en amont et dès l’éducation pour que les citoyens s’inscrivent comme acteur dans une société respectueuse, …, formés à l’utilisation responsable des moyens de communication contemporains ». Ou le député Christos Doulkeridis, qui déplore « ce degré supplémentaire dans l’ignoble et le machisme ordinaire » annonçant « vouloir aller jusqu’au bout et réfléchir à la bonne façon de pénaliser cette dérive », et« face à cette culture de l’anonymat, il faut faire le tri et l’éducation est prioritaire, dans une réflexion globale sur l’école ».
Nous suivrons ce dossier pour s’assurer que ces dérives ne retourneront pas dans l’ombre et continuer à faire bouger les choses auprès de personnes engagées, parce que nous ne voulons pas d’un internet qui sert à détruire et avilir les personnes.
Rejoignez-nous en signant la pétition et en faisant circuler le #notonmyweb. Parce que de tels comportement ne doivent pas avoir leur place sur internet.