Parce que c’est de l’art urbain
Le street art et les graffitis n’ont jamais été aussi tendance. Aujourd’hui l’art urbain s’expose en dehors du bitume et des lieux publics désaffectés. On ne vous fera pas l’affront de vous renvoyer à l’expo de Banksy qui s’est tenue récemment à Anvers. On retrouve aussi de nombreuses collabs nouées entre artistes et designers de mode et de déco. Elles donnent vie à des collections de t-shirts, de casquettes, de parfums, de vaisselle ou encore de bagages!
Même constat du côté des tatouages. Ils ne sont plus l’apanage des héroïnes d’Orange is the New Black ou des moussaillons de tout poil. Il suffit de voir fleurir les comptes Instagram réservés à ce nouvel art pour le constater. Véritable terrain d’affirmation de soi, le tatouage s’émancipe de la peau pour s’infiltrer sur toutes sortes de supports.
Mais quel rapport avec Sushi Shop? Parce que la nourriture se déguste aussi avec les yeux, le groupe français créé en 1998 a toujours soigné la présentation de ses sushis, makis et rolls. Des vraies petites œuvres d’art à eux tous seuls.
Parce que Scott Campbell est le Warhol du tattoo
Distribué aujourd’hui dans 10 pays via ses 117 filiales, Sushi Shop avait déjà lancé des éditions limitées en partenariat avec Kenzo, Lenny Kravitz et Kate Moss. Cette fois le spécialiste des sushis a fait appel à Scott Campbell, un des tatoueurs les plus doués au monde.
Ce biochimiste de formation a quitté son université du Texas pour San Francisco. Il a fait ses classes chez Picture Machine, une des plus anciennes boutiques de tatouage de Californie. Scott a pris beaucoup de plaisir à ‘tatouer’ la box en édition limitée.
Celle-ci contient 42 sushis créés spécialement par les chefs de Sushi Shop pour l’occasion.
Disponible à partir du 19 avril au prix de 45 euros dans tous les Sushi Shop.
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