Sommaire
Peu importe, en réalité : il arrive toujours un moment où nous dressons une liste de priorités. Sur laquelle, pile entre “arrêter de fumer” et “lire un livre intelligent par mois”, on y écrit le sempiternel “faire du sport” et on le souligne deux fois.
Cette année, on va faire mieux qu’y penser – puis l’oublier.
Cette année, on va choisir de se mettre au footing et, grâce à ce qui suit, on sait pourquoi on va assurer :
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Le footing, c’est quand on veut !
On aménage nos sorties selon notre emploi du temps et nos envies. Si on est du matin, on fonce ! On se lève un peu plus tôt et on délègue le réveil des enfants à Gentil Mari deux jours par semaine. Si notre travail le permet, on y va après avoir déposé les enfants à l’école – et on n’oublie pas de manger avant si on ne veut pas terminer sur les rotules.
Si on est plutôt du soir, on sort en toute fin de journée – mais on garde à l’esprit de laisser au moins 2 heures entre l’effort et le coucher. Nous voilà bien plus libres que si on s’étaient inscrites à un cours collectif aux horaires imposés, non ?
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Le footing, c’est où on veut !
On a un bois près de chez nous ? Veinardes ! Il est temps d’en profiter autrement qu’un dimanche par trimestre ! On a un espace piéton, une berge ou un quai à proximité ? On n’hésite plus, on va s’aérer ! On part en week-end ? On emmène nos baskets ! On part au soleil ? On court à la fraîche, sur la plage… On n’a besoin que de nos pieds et d’un peu de volonté: le monde entier est notre salle de sport !
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Le footing, c’est comme on veut !
Certains experts en course à pied décrivent le jogging comme le fait de courir à une vitesse inférieure à 9,7 kilomètres par heure (6,2 minutes pour parcourir un kilomètre, soit 2,7 mètres à chaque seconde). Chacune son rythme, donc. On n’est pas dans le “running”, on n’est pas là pour préparer un marathon. On y va en douceur, progressivement et sans faire attention aux autres. Le but est de trouver sa cadence et de se sentir bien. Pour mémoire, on tient le bon bout quand on arrive à parler sans être essoufflée… Maintenant qu’on le sait, on n’a plus qu’à essayer !
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Le footing, c’est bon pour la santé !
Courir 45 minutes, 2 à 3 fois par semaine et à l’allure dont on parle plus haut améliore la forme cardiovasculaire et l’endurance, réduit la tension artérielle et les risques de maladie de coeur, augmente le “bon” cholestérol, renforce les os et le système immunitaire.
Voilà, on n’a rien de plus à ajouter.
Ah, si…
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Le footing, c’est gratuit !
Vu qu’on a dépensé le PIB du Nicaragua deux années de suite dans une salle de sport où on a mis les pieds que dix fois, il est temps de penser aussi à notre porte-monnaie. Et de se dire qu’à part une bonne paire de baskets – indispensable pour éviter les blessures -, courir, c’est gratuit… ce qui, de nos jours, n’a pas de prix !