- Vous n’êtes pas obligés de prendre de (bonnes) résolutions le 1er janvier
Vous pouvez laisser votre calendrier personnel choisir une autre date-clé comme période de changement.
- Si vous prenez une résolution, soyez modeste dans vos objectifs
La résolution doit être le plus simple et le plus accessible possible. Des exemples ? Quelques minutes d’exercices par jour en plus, un petit changement dans la relation à l’alcool, au tabac ou à la nourriture, une petite expérience de méditation. Des projets à votre portée… Ne vous en moquez pas : il n’y a que les petites évolutions qui produisent de vrais progrès. « C’est marche par marche que l’on arrive en haut d’une montagne ».
- Avant de prendre une résolution pour la nouvelle année, souvenez-vous de celles que vous avez réussi à tenir et de celles qui étaient impossibles
Un petit exercice qui permet de repérer son style de changement. Plutôt femme de révolutions, de grandes crises ou de petites évolutions ? Ce qui permet de mieux calibrer la résolution adaptée à votre style de vie.
- Passez en revue vos succès, vos résolutions tenues
Souvenez-vous de ces moments où vous pensiez que la réussite était impossible… mais que vous y êtes arrivée. Le souvenir des succès passés augmente la confiance en soi… et vous prépare aux nouveaux défis. Votre passé peut devenir un allié.
- Identifiez la procrastination comme le pire ennemi de vos résolutions
Ne remettez pas au lendemain ce que vous pouvez faire dès maintenant. Si vous vous engagez dans un changement, faites le dès le 1er janvier. Dès le 2 janvier, vos chances de succès diminuent ! Car vous trouverez de bonnes raisons pour attendre le 3, puis le 4… voire l’année suivante.
- Faites confiance au temps qui va devenir votre allié dès le premier pas
Une association de psychologie américaine affirme qu’une habitude répétée pendant 66 jours a toutes les chances de durer toute la vie. Engagez-vous pour deux mois.
- Associez contrainte et plaisir
Pas évident de renoncer à un comportement ou une substance qui fait plaisir… Sauf si vous y ajoutez une petite récompense personnelle. À vous d’imaginer votre gratification.
- Faites de Darwin votre allié
Charles Darwin a expliqué que le changement fait du bien, qu’il est même vital car seules les espèces animales qui ont été capables de changer et de s’adapter ont survécu. Pareil pour nous : en développant notre capacité de changement, on se renforce. Car chaque réussite va accroître l’estime de soi, la confiance en soi et la résistance au stress. Tout bénéf’.
- Trouvez-vous un allié, un complice ou un confident témoin de la tenue ou non de vos résolutions
Partager sa fierté et ses doutes permet de tenir plus facile son engagement personnel. Et celui-ci sera d’autant plus fort qu’il est collectif. Choisissez avec soin ce partenaire : vous devez être certaine qu’il ne se moquera pas de vous en cas d’échec et n’augmentera pas la pression si vous êtes sur le point de céder.
- Ne prenez de résolution que sur ce que désirez vraiment changer
Vraiment motivée, on hésite parfois à s’engager. Dans ce cas, l’effet 1er janvier petit être utile. Mais si votre vœu est pieu, cela ne servira à rien. La résolution ne crée pas de motivation à elle seule, mais elle peut pousser à mettre en action ce pour quoi on est déjà motivée. Mesurez vos désirs de changement, pesez le pour et le contre et fixez-vous une date à partir de laquelle vous pourrez enfin changer.