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#Girlboss de Sophia Amoruso
Sophia Amoruso est une jeune entrepreneuse américaine qui partie de rien s’est bâti un véritable empire. Son parcours est atypique: de voleuse de vêtements et en décrochage scolaire à patronne d’un empire de e-commerce. En créant son site de vente en ligne NastyGal, Sophia est devenue une femme d’affaires accomplie. Fondé en 2006, NastyGal est rapidement devenu une référence dans le monde de la « fast fashion ».
Dans #GIRLBOSS elle nous livre les secrets de sa réussite professionnelle hors des sentiers battus. Considéré comme la nouvelle bible américaine de l’entrepreneuriat féminin, cet ouvrage est une véritable bouffée d’oxygène dans le monde très masculin de la Silicon Valley. Sa philosophie? Pour être sa propre patronne, il faut assumer ses choix autant que ses erreurs et être consciente que la vie commence à la fin de notre zone de confort. On dévore ses conseils avisés pour booster notre carrière et réussir professionnellement.
Une #girlboss est en charge de sa propre vie. Elle obtient ce qu’elle veut parce qu’elle travaille pour. Sophia Amoruso
Not that kind of girl de Lena Dunham
Lena Dunham est la créatrice de la série Girls, l’anti Sex&The City qui cartonne. La série, dans laquelle elle tient un des rôles principaux, raconte la vie de trois New-Yorkaises dans leurs premières années d’indépendance, très loin des stéréotypes et clichés. À à peine 30 ans, Lena est devenue l’une des voix les plus influentes du féminisme à Hollywood. Loin des diktats de beauté imposés par le milieu, Lena Dunham assume ses rondeurs et son authenticité.
Récemment elle a fait la couverture du Glamour américain où elle affiche fièrement ses cuisses non retouchées. Naturelle à 200%, Lena assume sa cellulite et ses formes sans complexe, et on la remercie pour ça ! Son livre Not that kind of girl est une autobiographie qu’elle qualifie « d’anti-guide à l’usage des filles d’aujourd’hui« . Reine de l’autodérision, elle nous raconte à la manière d’une bonne copine ses angoisses, ses déboires sexuels et ses complexes… sans langue de bois !
Nous vivons dans une société qui veut opposer les femmes les unes aux les autres, c’est notre job de résister à cette tyrannie. Lena Dunham
La femme que j’ai voulu être de Diane von Furstenberg
La créatrice de mode new-yorkaise, née à Bruxelles est un modèle de réussite pour une génération de femmes. Du succès de sa célèbre wrap dress à son véritable empire, Diane von Furstenberg est l’incarnation de la détermination et de l’audace.
Arrivée dans le monde de la mode en 1974 avec sa pièce culte, la robe-portefeuille, DVF aujourd’hui âgée de 70 ans est toujours au sommet. Elle habille les plus grands, de Michelle Obama à Kate Middleton, et est présidente du syndicat de la mode aux États-Unis. Engagée, elle encourage depuis des années l’émancipation des femmes à travers des initiatives comme les DVF awards qui récompensent les figures féminines les plus influentes.
Au travers de son autobiographie La femme que j’ai voulu être, dont on vous parlait il y a quelques mois ici, Diane von Furstenberg se confie avec franchise et tendresse sur les éléments de sa vie qui ont contribué à faire d’elle la femme qu’elle est aujourd’hui.
Je voulais être une femme indépendante, une femme qui pourrait payer ses factures, une femme qui pourrait diriger sa propre vie – et je suis devenue cette femme. Diane Von Furstenberg
