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Dans un contexte où les coûts de l’énergie sont en hausse et où les réglementations environnementales se durcissent, un bon PEB représente un atout majeur. Il rassure les acheteurs potentiels sur les dépenses énergétiques à venir et peut justifier un prix plus élevé. À l’inverse, un mauvais PEB peut compliquer la vente ou la location, nécessitant parfois des négociations à la baisse ou des travaux d’amélioration énergétique.
Les acheteurs et locataires sont de plus en plus attentifs à cet indicateur. Un logement bien classé est perçu comme plus économique et confortable, ce qui en fait un critère de choix déterminant. De plus, certaines banques prennent en compte le PEB dans l’octroi de crédits hypothécaires, favorisant les biens énergétiquement performants avec des taux préférentiels.
Le PEB impacte donc à la fois la valorisation financière du bien, le temps de vente ou de location, et la rentabilité pour le propriétaire. Il est donc essentiel de comprendre comment cet indicateur influence le marché et quelles stratégies peuvent être mises en place pour optimiser son score et ainsi maximiser la valeur de son bien immobilier.
Un bon PEB, un argument de vente et de location déterminant
Un bon score PEB constitue un atout majeur sur le marché immobilier. Un logement classé A ou B est souvent perçu comme une opportunité à long terme, permettant de réduire significativement les factures énergétiques. Les acheteurs recherchent de plus en plus des biens peu énergivores, conscients de l’impact des coûts liés au chauffage et à l’électricité.
Pour les propriétaires, un PEB performant peut justifier un prix de vente plus élevé. En moyenne, une différence de deux classes énergétiques peut influencer la valeur d’un bien de 5 à 10 % selon les études du secteur immobilier. Les biens classés A ou B attirent plus de candidats, réduisant le temps de mise en vente et limitant les négociations sur le prix.
Sur le marché locatif, l’impact est tout aussi significatif. Les locataires privilégient les logements bien isolés afin de réduire leurs charges mensuelles. Un appartement avec un PEB A pourra se louer plus facilement et à un loyer plus élevé qu’un bien classé F ou G, où les dépenses énergétiques peuvent être dissuasives. Certaines régions envisagent même de limiter la mise en location des logements trop énergivores, obligeant les propriétaires à entreprendre des travaux d’amélioration.
L’affichage du PEB dans les annonces immobilières est obligatoire, ce qui pousse de nombreux acheteurs et locataires à comparer les biens sur ce critère. Un bon score devient ainsi un avantage concurrentiel, renforçant l’attractivité du bien sur le marché.
Thomas & Piron, un promoteur engagé dans la performance énergétique
Face à l’importance croissante du PEB dans la valorisation des biens immobiliers, Thomas & Piron propose des logements économes en énergie, en intégrant dès la conception des solutions permettant d’atteindre des PEB performants.
L’entreprise privilégie l’utilisation de matériaux durables et de techniques de construction avancées pour garantir une excellente isolation thermique. L’isolation des murs, des sols et des toitures est optimisée pour limiter les pertes de chaleur et réduire la consommation énergétique des bâtiments. Cette approche permet aux futurs propriétaires et locataires de bénéficier d’un confort accru tout en réalisant des économies sur leurs factures énergétiques.
Thomas & Piron intègre également lorsque cela est possible des systèmes de chauffage et de ventilation performants. Ces équipements permettent d’améliorer le PEB des logements en réduisant leur consommation d’énergie fossile et en optimisant le renouvellement de l’air intérieur.
Grâce à ces choix stratégiques, les biens immobiliers construits par Thomas & Piron bénéficient de score PEB avantageux, ce qui les rend particulièrement attractifs sur le marché. Pour les acheteurs et investisseurs, cela signifie une valorisation plus stable et une meilleure rentabilité, en évitant les problématiques liées aux logements énergivores.
Les constructions neuves de Thomas & Piron sont donc une réponse concrète aux défis énergétiques actuels. Elles permettent aux propriétaires de sécuriser leur investissement, d’anticiper les futures réglementations et de garantir un logement durable et performant sur le long terme.
Un mauvais PEB peut freiner la vente ou la location
A contrario, un logement avec un PEB médiocre (E, F ou G) est souvent perçu comme un bien nécessitant des travaux de rénovation énergétique. Ce constat peut avoir plusieurs conséquences sur la vente ou la location du bien, rendant ces transactions plus longues et plus complexes.
Les acheteurs potentiels, en découvrant un score énergétique faible, anticipent des coûts élevés en chauffage et en électricité. Ils peuvent alors négocier une baisse de prix ou se détourner du bien au profit d’une habitation mieux classée. Dans certains cas, la différence de valeur entre un bien performant et un bien énergivore peut atteindre 15 %, surtout dans des marchés immobiliers tendus où la concurrence est forte.
Du côté des propriétaires souhaitant louer leur bien, un PEB défavorable entraîne une baisse d’attractivité. Un appartement classé G peut voir son loyer plafonné dans certaines communes soumises à des réglementations strictes. De plus, certains locataires peuvent être rebutés par l’idée d’avoir des factures énergétiques élevées et chercheront une alternative plus économique.