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Film d’épouvante ou d’introspection, romances ou comédies… Netflix a produit des centaines de films dans tous les genres et pour tous les goûts. En plus de son catalogue riche et renouvelé de façon hebdomadaire, la plateforme de streaming propose des créations originales qui valent le détour.
Plusieurs fois déjà, le géant américain a fois su saisir l’ère du temps et produire des films engagés, liés à l’écologie (Okja, Annihilation), la santé mentale (To the bone), la sorrorité (Un week-end à Napa) ou encore la lutte contre le patriarcat et le racisme (Jessie, Les 7 de Chicago).
Voici notre sélection des films Netflix à découvrir.
« To the Bone », de Marti Noxon
Des frissons. C’est l’une des premières choses que nous fait ressentir le film et la bande-annonce de To The Bone. Sorti en 2017 au festival du film de Sundance (organisé par la Sundance Institute, une organisation qui promut la production du cinéma indépendant), le premier court-métrage de la réalisatrice Marti Noxon est un film touchant mais aussi réjouissant.
Le film américain, qui dure 1h47, conte la vie d’Ellen, 20 ans, atteinte d’anorexie mentale. En combat contre sa maladie, et ainsi contre elle-même, la jeune femme fragile veut à tout prix garder le contrôle, surtout en ce qui concerne son alimentation. Ellen, interprétée par Lily Collins (Emily in Paris), est envoyée dans un centre spécialisé dirigé par un médecin interprété par Keanu Reeves, dont les techniques de guérison sont loin d’être conventionnelles.
Si le film vaut le détour, c’est autant pour la performance de l’actrice que pour le sujet : les troubles du comportement alimentaire qui sont encore des maladies peu abordés dans les fictions. Le long-métrage met également en avant le déni dans lequel on peut se plonger face à la maladie et les difficultés que l’on peut avoir à demander de l’aide.
« Je ne suis pas un homme facile », d’Éléonore Pourriat
Inversion des rôles, le patriarcat se transforme en matriarcat. Je ne suis pas un homme facile, sorti en 2018 sur Netflix, est une comédie romantique légère et pleine de sarcasme. La réalisatrice Éléonore Pourriat réussit avec brio le pari difficile de la dystopie inspirée de son court-métrage intelligent, drôle et féministe, Majorité opprimée, diffusé en 2010.
Damien, interprété par Vincent Elbaz, est le cliché parfait de l’homme cis (son genre est celui qui lui a été assigné à la naissance) hétéro, blanc et misogyne. Un jour, il se réveille dans une société où les femmes dominent et les hommes s’inclinent.
Amoureux d’une écrivaine (Marie-Sophie Ferdane), l’ancien dragueur va tout faire pour la conquérir. Sauf que Damien doit s’habituer à cette société dans laquelle son genre n’est plus dominant. Femmes à haut-postes, harcèlement de rue, injonction à la minceur, à l’épilation… Toutes les inégalités et violences que subissent les femmes sont ainsi décriées en les attribuant aux hommes.
« Marriage Story », de Noah Baumbach
Marriage Story est un bouleversant film sur la fin d’un mariage. Diffusé sur Netflix le 6 décembre 2020 et nommé aux Oscars de la même année, le long-métrage encensé par la critique raconte le désamour d’un couple et la quête de soi après une rupture. Avec un regard bienveillant et compréhensif, le réalisateur Noah Baumbach retrace la désillusion de Charlie (Adam Driver), Nicole (Scarlett Johansson) et de leur fils Henry, victime collatérale d’un mariage réduit en poussières.
Nicole, actrice, a quitté Hollywood pour suivre son époux, metteur en scène new-yorkais. Si sur le papier, ce couple a tout pour s’aimer et former un duo inséparable, on réalise vite que la jeune femme se sent prisonnière de sa propre vie.
Mariée à un metteur en scène considéré comme un génie, elle n’a vécu qu’à travers ses rêves, à défaut de vivre les siens. Elle peut compter sur les conseils justes et féministes de son avocate Nora (interprétée par Laura Dern qui a décroché l’Oscar de la meilleure actrice dans un second rôle), qui lui ouvre les yeux tandis qu’elle accueille mille émotions à la fois durant la séparation.
Par ailleurs, le cinéaste Noah Baumach s’est inspiré de sa propre séparation avec l’actrice Jennifer Jason Leigh.
« Okja », de Bong Hoon-ho
Okja est synonyme de magique. Le film de science-fiction sorti en 2017 raconte la fabuleuse et douloureuse histoire de Mija et Okja, un imposant cochon doux et attachant, qui vit dans les montagnes de la Corée du Sud. Mija, elle, est une jeune fille courageuse et intrépide. Amie avec l’animal depuis dix ans, elle fera tout pour le sauver lorsqu’il sera capturé par une multinationale d’agro-alimentaire.
Ce film du célèbre cinéaste coréen Bong Joon-ho (Parasite, Snowpiercer) prend part à une bataille d’idées entre le capitalisme et la protection de l’environnement et des animaux.
« Don’t look up : Déni cosmique », d’Adam McKay
La comédie dramatique américaine sortie en 2021 dénonce l’inaction climatique avec un humour acerbe. Don’t look up : Déni cosmique met en scène deux astronomes dépassés, Randall Mindy (Leonardo DiCaprio) et sa doctorante Kate Dibiasky (Jennifer Lawrence), dont les calculent dévoilent qu’une comète va détruire la terre dans six mois. Le hic ? Ils ont très peu de crédibilité aux yeux des médias et du monde politique. Ainsi ils ont du mal à se faire entendre par la population terrestre.
Les deux scientifiques sont alors victimes de désinformation et du sacarsme des climato-sceptiques. Un peu à l’image des militants écologistes d’aujourd’hui. Loufoque et désespérément en écho à l’actualité, le film a eu son lot de récompenses.
Pour leurs rôles dans la satire du géant du streaming, Jennifer Lawrence a été nommée aux Golden Globes 2022 de la meilleure actrice dans un film musical ou comédie, et Leonardo Dicaprio pour celui du meilleur acteur. Au total, Don’t look up a été nommé dans quatre catégories aux Oscars 2022.
Le public aussi semble avoir apprécié cette comédie, puisqu’en seulement vingt-huit jours, Netflix a comptabilisé 360 millions d’heures de streaming, ce qui en fait le film le plus vu dans la semaine suivant sa mise en ligne, et le deuxième le plus vu de l’histoire de la plateforme.
« Pieces of woman », de Kornél Mundruczó
Pieces of woman est un film terrible et bouleversant. Terrible parce qu’il conte l’effroyable : la souffrance d’une mère et d’un père qui perdent leur enfant lors de l’accouchement. Bouleversant parce que l’on est happé par le récit et les interprétations remarquables de Vanessa Kirby et Shia Labeouf. Difficile mais nécessaire, il aborde un sujet important et peu conté.
Sorti le 7 janvier 2021 au Canada, Pieces of woman a été réalisé par Kornél Mundruczó. Le cinéaste signe ici un chef d’oeuvre des plus intimes puisqu’il s’est inspiré de sa propre vie. En janvier 2021, il racontait à Télérama avoir vécu ce drame avec son épouse et scénariste, Kata Wéber : « Qu’est-ce que cela signifie de ne pas pouvoir parler de la mort d’un bébé ? Avec ma femme, nous nous sommes enfermés dans le silence jusqu’à ne plus pouvoir le supporter. »
« Roma », d’Alfonso Cuarón
Le multi-récompensé Roma, sorti en 2018, relate l’enfance du réalisateur Alfonso Cuarón au sein de sa famille bourgeoise. Filmé en noir et blanc, le long-métrage acheté par Netflix révèle l’intimité du cinéaste dans le quartier résidentiel de La Colonia Roma à Mexico en 1971.
Roma est suit essentiellement la vie de Cléo, une domestique amérindienne qui travaille pour sa famille et qui tombe enceinte d’un homme qui l’abandonne. Mélancolique et sublime, le film évoque plusieurs sujets de société importants : la pauvreté, la misogynie mais aussi la relation ambiguë entre les travailleuses domestiques et leurs employeurs.
Roma a eu d’excellentes critiques de la presse internationale, et a remporté en 2018 le Lion d’Or à la Mostra de Venise, première distinction prestigieuse raflée par Netflix. En 2019, il a gagné trois Oscars, dont celui du meilleur film en langue étrangère et du meilleur réalisateur.
« Private Life », de Tamara Jenkis
Réalisé par Tamara Jenkis, créatrice de plusieurs long-métrages tels que La Famille Sauvage (2007), le film raconte le combat d’un couple, Rachel Biegler (Kathryn Hahn) et Richard Grimes (Paul Giamatti) pour avoir un enfant.
De la fécondation in vitro à l’adoption, les amants qui ont passé la quarantaine essayent toutes les options possibles pour fonder une famille. Mais ces tentatives ratées ont de nombreuses conséquences sur leur moral et leur couple, comme par exemple les sautes d’humeurs dues au traitement hormonal.
Réaliste et puissant, le film sorti en 2018 est toujours pertinent des années après.
« À tous les garçons que j’ai aimés », de Susan Johnson
À tous les garçons que j’ai aimés est une comédie romantique adolescente en trois parties.
Sorti le 18 août 2018 sur Netflix, le film conte les débuts amoureux embarrassants et touchants de Lara Jean Song Covey, une lycéenne, réservée n’a jamais eu d’histoire d’amour. Mais son manque d’expérience ne l’empêche pas de fantasmer sur cinq garçons à qui elle écrit des lettres sans jamais les envoyer.
Un jour, ses déclarations arrivent mystérieusement chez leur destinataire… Et sa vie bascule. Adapté du premier roman de la trilogie Les amours de Lara Jean, de Jenny Han, la comédie reprend les codes d’un teen-movie réussi : des secrets, de l’amour candide et beaucoup de maladresses.
Récemment, un spin-off du nom de XO Kitty a été annoncé par Netflix, il suivra la vie sentimentale de Kitty Covey, la petite soeur de Lara Jean.
« Annihilation », d’Alex Garland
Annihilation est une adaptation du roman du même nom de Jeff VanderMeer, sorti en 2014. Ambiance angoissante et suspense garanti, le film de science-fiction et d’horreur américano-britannique nous embarque dans un univers sinistre et futuriste dans lequel de mystérieuses créatures menacent la vie des humains.
Si l’histoire a autant d’intérêt c’est parce qu’elle met en avant l’impressionnante biologiste et ancienne militaire Lena (Nathalie Portman). Déterminée à comprendre la raison du mal être de son mari après qu’il ait participé à une mission secrète dans une zone près des côtes américaines, la jeune femme va tout faire pour le sauver et percer le mystère de cette invasion extra-terrestre, au péril de sa vie.
Ici, la puissance et l’union des femmes est mise en avant puisque la survie et le futur de l’être humain repose sur quatre aventurières soudées.
« Jessie », de Mike Flanagan
Angoissant est le mot pour qualifier Jessie. Le film d’horreur psychologique américain co-écrit et réalisé par Mike Flanagan, à qui l’on doit de nombreuses productions horrifiques sur Netflix, donne des sueurs froides et traite de la mémoire traumatique.
Le long-métrage adapté du roman éponyme de Stephen King paru en 1992 raconte l’histoire de Gerald (Bruce Greenwood) et Jessie Burlingame (Carla Gugino). Partis en weekend pour sauver leur mariage et leur vie sexuelle, les amants séjournent dans une maison isolée au bord d’un lac.
Mais lors d’un jeu sexuel durant lequel Jessie est menottée contre son grès, son mari Gerald meurt d’une crise cardiaque. Alors qu’il est impossible pour la femme de se détacher, elle est victime d’une succession d’événements terrifiants et de visions dans lesquelles refont surface des souvenirs traumatiques de violences sexuelles qu’elle a subies.
« Tallulah », de Sian Heder
Tallulah retrace l’histoire d’une sans-abri qui fait la rencontre d’une mère riche et irresponsable avec son enfant. Un soir, la jeune femme décide d’emmener le bébé avec elle pour le protéger. Ne sachant pas où aller, elle se rend chez son ex-belle-mère qui croit que la fillette est sa petite-fille.
Réalisé par Sian Heder, le film est porté par un casting incroyable, avec comme acteur principal Elliot Page. Si le film est aussi passionnant, c’est parce qu’il s’attarde sur trois profils de femmes très différentes : Tallulah libre et rebelle, Carolyn une mère mal dans sa peau (Tammy Blanchard) et Margo un ex-belle mère qui refuse de reconnaître que son mariage est fini (Allison Janney).
« Lost Daughter », de Maggie Gyllenhaal
The Lost Daughter est un film dont on ne ressort pas indemne. Stressant et énigmatique, le film dramatique gréco-américain a été écrit, co-produit et réalisé par Maggie Gyllenhaal.
Adapté du roman Poupée volée (La figlia oscura) de l’autrice féministe Elena Ferrante, The lost Daughter raconte l’histoire de Leda, une mère divorcée et professeure d’anglais. Partie pour quelques jours de vacances sur une île grecque, Leda, interprétée par l’exceptionnelle Olivia Colman, va voir son repos dérangé par un groupe de vacanciers bruyants.
Parmi eux, un couple et leur fille se disputent souvent et attirent particulièrement son attention. De là, la professeure a un comportement étrange, en étant sans cesse confrontée à des souvenirs d’elle plus jeune avec ses deux filles.
Toute la force de ce film tient par les prestations d’Olivia Colman, qui nous fait ressentir la culpabilité d’une personne perdue entre son rôle de mère et sa vie de femme, abordant la maternité loin des clichés de la mère parfaite et toujours souriante. En face d’elle, Dakota Johnson brille également par son jeu énigmatique.
The Lost Daughter a eu le prix du meilleur scénario à la Mostra de Venise en 2021 et Olivia Colman a été nommée pour l’Oscar 2022 de la meilleure actrice.
« Une femme de tête », de Haifaa al-Mansour
Une femme de tête, réalisé par Haifaa al-Mansour, et sorti le 21 septembre 2018 sur Netflix, est le film intersectionnel et émancipateur par excellence.
Plus l’intrigue se déroule, plus l’héroïne se découvre et se libère des standards de beauté produits par le patriarcat et l’imaginaire raciste, selon lesquels les cheveux crépus ne sont pas beaux. Dans ce long-métrage touchant on découvre Violet Jones, une jeune femme perfectionniste qui semble avoir une vie de rêve avec un job dans la publicité, des amies, et un petit-ami.
Mais l’héroïne porte sur elle une pression quotidienne : celle d’être parfaite. Cette obsession se manifeste particulièrement sur ses cheveux qu’elle lisse tous les jours… Jusqu’à ce que l’héroïne se rase la tête et décide enfin d’être elle-même.
« I feel pretty », d’Abby Kohn et Marc Silverstein
I feel pretty est un film drôle, dynamique et décomplexé. Réalisé par Abby Kohn et Marc Silverstein en 2018, il suit les péripéties de Renée, une jeune femme qui souffre d’un gros manque de confiance en elle.
Ayant un physique qui ne correspond pas aux normes de beautés actuels, elle peine, malgré sa personnalité solaire et pétillante, à avancer dans sa vie sur le plan professionnel et sentimental. Renée fait alors le vœu de « devenir jolie » avant de faire une chute sur la tête accidentelle.
Lorsqu’elle se réveille, la jeune femme se sent soudainement belle et gagne en assurance. Elle sait ce qu’elle vaut, ce qu’elle veut, et n’a plus peur de rien. Pourtant, à part sa propre perception d’elle-même, rien n’a changé.
Interprété par la comédienne Amy Schumer, le personnage de Renée vous promet des scènes loufoques et touchantes.
« I care a lot », de J Blakeson
I care a lot est une comédie noire : Marla Grayson (Rosamund Pike) est une tutrice qui s’occupe de personnes riches et âgées, mais loin d’être bienveillante, la femme qui se considère comme « une lionne » les dépouillent et mène une vie luxueuse grâce à elles.
Aidés par plusieurs complices, notamment le Dr Amos (Alice Witt), qui manipule des dossiers médicaux, Marla Grayson est une femme redoutable qui n’a peur de rien. Jusqu’au jour où elle rencontre sa nouvelle victime pleine de secrets : Jennifer Peterson.
La comédie a reçu une bonne critique de la part de la presse et Rosamund Pike a remporté le Golden Globes 2021 de la meilleure actrice dans une comédie. Sur Netflix, le film est resté plusieurs jours dans le top 10 des contenus les plus regardés.
« Les 7 de Chicago », d’Aaron Sorkin
Les sept de Chicago est un film historique américain réalisé par Aaron Sorkin. Sorti en 2020 sur Netflix, il retrace le procès des Chicago Seven à la fin des années 60. Ce groupe de militants – composés de Abbie Hoffman, Jerry Rubin, David Dellinger, Tom Hayden, Rennie Davis, John Froines et Lee Weiner – étaient notamment accusés de conspiration et d’incitation à la révolte suite aux manifestations qui se sont déroulées à Chicago, lors de la Convention démocrate de 1968.
Ces hommes se révoltaient contre la guerre du Viêt Nam et la politique du Président Lyndo B.Johnson. Nommés à plusieurs prix, le film a reçu deux récompenses notables : un Golden Globes 2021 du meilleur scénario et un Screen Actor Guild Award 2021 pour la meilleure distribution.
Au casting, on retrouve des célèbres acteurs comme Joseph Gordon-Levitt, Alex Sharp ou encore Eddie Redmayne.
« Un week-end à Napa », d’Amy Poehler
Si vous voulez vous changer les idées et passer un bon moment, les aventures de Abby (Amy Poehler), Tammy (Tina Fey), Rebecca (Rachel Dratch), Naomi (Maya Rudolph), Jenny (Emily Spivey), Val (Paula Pell) et Catherine (Ana Gasteyer) sont ce qu’ils vous faut.
Un week-end à Napa est une comédie drôle, sorore et authentique. Le film diffusé sur Netflix en 2020 raconte le séjour riche en émotions d’un groupe de copines dans la vallée de Napa en Californie. Réunies pour fêter l’anniversaire de l’une d’entre elles, les amies se nourrissent de conversations et de rires, mais surtout de vin. Ainsi les rancoeurs du passé refont surface.
Réalisé par Amy Poehler, le film provoque le rire mais aussi l’empathie. Car plus le récit avance, plus les femmes se livrent. Divorcée, sans enfant, solitaire ou fêtarde, chacune est différente mais toutes se soutiennent et vivent ensemble un week-end aussi chaotique que salvateur.
« Booksmart », d’Olivia Wilde
Booksmart est une comédie rafraîchissante dont Olivia Wilde, la réalisatrice, a le secret. Le film sorti en 2019 suit la folle nuit d’Amy (Kaitlyn Dever) et Molly (Beanie Feldstein) deux ados qui décident, pour la première fois de leur vie d’aller en soirée et de lâcher totalement prise.
Entre rires, excès et imprévus, le premier long-métrage d’Olivia Wilde fête la jeunesse mais surtout l’amitié. Encensé par les médias, il a engrengé 24 millions de dollars de recette.
Mais ses actrices sont elles aussi applaudies, en particulier Beanie Feldstein, qui a été nommée lors de la 77e cérémonie des Golden Globes pour le prix de la meilleure actrice dans un film musical ou une comédie, en 2020.
Source : Marie Claire France.