Heureusement, il y a une saison pour débuter avec l’highlighter et elle commence maintenant! Les jours raccourcissent, la lumière se tamise et on s’approche des fêtes de fin d’année: tout le monde sait que c’est la seule occasion, avec le re-mariage de tante Ginette, où l’on peut tester glitter, paillettes, enlumineurs et autres joyeusetés sans faire de faute de goût. De plus, vu qu’il fait plus vite sombre, l’enluminateur prend tout son sens pour éclairer notre regard.
Question application, on commence par les zones les plus faciles, à savoir en dessous, vers l’extérieur des sourcils et au-dessus des pommettes. Ce sont les zones qui font le plus de différence sur une photo et sculptent votre regard pour le mettre en avant. Même les photos en noir et blanc apprécient, puisque ce truc nous vient de l’Age d’Or d’Hollywood et n’a jamais fait défaut depuis.
Quand on maîtrise ces zones, on passe aux plus risquées: l’arête du nez , le milieu du front et la partie basse du menton. Pourquoi plus risquées? Parce qu’une mauvaise application donne plus l’impression que vous avez eu trop chaud ou que vous avez la peau grasse. A tester plusieurs fois chez soi avant d’oser en public pour être certaine que l’application évolue bien sur la soirée.
Quant aux produits qui nous aident à sauter le pas, on appréciera particulièrement les applicateurs en stick, comme le Master Strobing Stick de Maybelline ou en « cushion » comme le Cushion Highlighter de Lancôme (collection Noël). Le stick permet un geste sûr et précis; quant au cushion, il offre une application douce et fondue, ce qui évite les impairs. Les poudres sont réservées aux plus douées qui possèdent les bons pinceaux.